NOT CHIC BUT CHEAP.
COS qui arrive à Paris, Topshop qui livre en France, Abercrombie & Fitch dont trop de mecs nus empêchent de se focaliser sur les produits et Urban Outfitters qui se révèle chaque fois plus décevant, ce ne sont définitivement plus les chaines qui stimulent l'envie de se rendre à Londres pour une virée shopping. S'il reste néanmoins des boutiques toujours intéressantes, les mastodontes qui faisaient rêver les accros de mode à prix abordables ne sont plus.
Sauf peut-être...Primark.
Si vous ne connaissez pas Primark, c'est l'anti tout ce que vous êtes censés aimer. Ce n'est pas chic, pas conceptuel, plein de monde, avec un merchandising digne d'un supermarché et certains partis-pris produits définitivement ratés. Aïe, ca part mal. Mais, tant mieux pour eux, ce n'est pas que ça.
C'est aussi un des exemples d'une mode à petit prix les plus étonnants.
Plutôt que de copier les grandes marques - suivez mon regard - ils ont choisi de 's'inspirer' du moyen de gamme pour construire leurs collections : Top Shop et American Apparel en tête de liste. Quel intérêt ? Le prix.
SI vous pensez qu'H&M ce n'est pas cher, vous n'avez encore rien vu. En gros, comptez 15 euros pour une veste, 12 pour des escarpins, 6 pour un short ou une jupe et 1,5 pour un tee-shirt. Qui dit mieux ?
Biensûr, on a beaucoup de choses à redire, entre autres sur le choix plus que douteux des matières.
Biensûr, quelques pièces et accessoires seulement sont intéressants : il est nécessaire de savoir chercher, connaitre le détournement et dans tous les cas, la première visite est, pour tout le monde, très décevante. Mais on est ici plus que jamais dans du vêtement jetable. Au vu du prix pratiqué, savoir si on le mettra ou pas devient accessoire.
Alors évidemment, cela ne rentre pas dans une morale éco-consciente et tout le beau discours que j'ai fait juste avant sur un vêtement qu'on garde et qui évolue avec nous. Mais tout n'est question que d'équilibrage. Et à voir les files de filles qui remplissent le lieu tous les jours de la semaine, il y en a encore à qui la Fast Fashion parle.
Et en temps de crise, y'a pas à dire, le cardigan 100% cachemire à 30 euros, c'est toujours ça de pris.
COS qui arrive à Paris, Topshop qui livre en France, Abercrombie & Fitch dont trop de mecs nus empêchent de se focaliser sur les produits et Urban Outfitters qui se révèle chaque fois plus décevant, ce ne sont définitivement plus les chaines qui stimulent l'envie de se rendre à Londres pour une virée shopping. S'il reste néanmoins des boutiques toujours intéressantes, les mastodontes qui faisaient rêver les accros de mode à prix abordables ne sont plus.
Sauf peut-être...Primark.
Si vous ne connaissez pas Primark, c'est l'anti tout ce que vous êtes censés aimer. Ce n'est pas chic, pas conceptuel, plein de monde, avec un merchandising digne d'un supermarché et certains partis-pris produits définitivement ratés. Aïe, ca part mal. Mais, tant mieux pour eux, ce n'est pas que ça.
C'est aussi un des exemples d'une mode à petit prix les plus étonnants.
Plutôt que de copier les grandes marques - suivez mon regard - ils ont choisi de 's'inspirer' du moyen de gamme pour construire leurs collections : Top Shop et American Apparel en tête de liste. Quel intérêt ? Le prix.
SI vous pensez qu'H&M ce n'est pas cher, vous n'avez encore rien vu. En gros, comptez 15 euros pour une veste, 12 pour des escarpins, 6 pour un short ou une jupe et 1,5 pour un tee-shirt. Qui dit mieux ?
Biensûr, on a beaucoup de choses à redire, entre autres sur le choix plus que douteux des matières.
Biensûr, quelques pièces et accessoires seulement sont intéressants : il est nécessaire de savoir chercher, connaitre le détournement et dans tous les cas, la première visite est, pour tout le monde, très décevante. Mais on est ici plus que jamais dans du vêtement jetable. Au vu du prix pratiqué, savoir si on le mettra ou pas devient accessoire.
Alors évidemment, cela ne rentre pas dans une morale éco-consciente et tout le beau discours que j'ai fait juste avant sur un vêtement qu'on garde et qui évolue avec nous. Mais tout n'est question que d'équilibrage. Et à voir les files de filles qui remplissent le lieu tous les jours de la semaine, il y en a encore à qui la Fast Fashion parle.
Et en temps de crise, y'a pas à dire, le cardigan 100% cachemire à 30 euros, c'est toujours ça de pris.
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